AFFAIRE de 401 Millions à l’Office du Niger : QUAND LA VICTIME DEVIENT L’APPÂT .
Après avoir joué pleinement son rôle de citoyen model , le dénonciateur paie au prix de sa carrière. Responsable syndical, Moustapha MAIGA comme tant de Malien lambda est désormais une victime d’une administration machiavélique. Les responsables de l’Office perçoivent l’odeur d’une intégrité encombrante d’où une mutation arbitraire, rapidement mise dans la poubelle par la justice Malienne.
Dès lors, le P.D.G. de l’Office du Niger ( Mahamadou B.Coulibaly) a employé la violation de la légalité par un licenciement du dénonciateur au pôle économique du Mali.
Quand la victime devient l’appât !!!
Très étonnant car les textes du code de travail sont contre tous licenciements abusifs.
Si permettre à l’état de retrouver la confiance auprès des partenaires est un crime ;
Permettre à la société Malienne de porter ses valeurs est un crime,
Permettre à la justice d’épingler les délinquants financiers est un crime alors Moustapha MAIGA est coupable.
Coupable de ne pas accepter l’argent du contribuable Malien.
Ma grand mère me disait:<< la course sur un toit est temporaire, la réception est brutale et douloureuse..rire..>>
Confrère le mensonge n’épousera jamais la vérité car Dieu veille .
Dianguina KEITA
