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Entre le marteau et l’enclume : Emmanuel Macron a choisi.

Ceux qui doutaient de l’importance géopolitique du Mali sur le continent, ont eu leurs réponses.

Les deux communiqués de la France sont des confirmations que la France n’a que des intérêts en Afrique.

Entre le choix de tous perdre ou de rester dans la grâce d’un peuple qui aspire au changements : Macron a choisi. L’Elysée demande le retour d’un Civile au pouvoir, et l’ambassadeur prend acte de la démission de M. IBK et demande sa libération comme les membres de son gouvernement.

La CEDEAO est vite allée en besogne en oubliant, que toute opposition française au peuple Malien, était synonyme de rupture entre les deux pays. Le sentiment anti-français à Bamako depuis quelques mois, est juste le rejet de la politique d’ingérence mâle saine contre une jeunesse qui aspire au changement.

Les Militaires ont compris que la force du pouvoir reste le peuple. C’est pas pour rien, que le l’Elysée fait un virage à 190° , car les deux millions de signatures , pour le soutien de l’armée Russe sont passées par là.

Nul ne pourrait faire fléchir un peuple débout. Un grand peuple comme le Mali fait honneur à son histoire. Dans les Rues de la capitale, la population demande simplement de faire un choix définitif entre les vrais amis du Mali et ceux qui parlent de sanctions.

Ceux qui veulent aider le Mali seront accueillis à bras ouverts, ceux qui imposent les sanctions quitteront le sol Malien sans aménagement.

Ma grand-mère me disait<< C’est dans les difficultés qu’on connait ses vrais amis>>.

Le Syndicat des chefs d’États de l’Afrique de l’ouest (CDEAO) est averti.

Car selon nos sources, les prochaines sorties seront dirigées contre les ennemis de la stabilité du Mali. Selon les mêmes sources, le retour de la France a de meilleurs sentiments vers le peuple, n’était pas leurs volontés, car une contestation populaire s’organisait autour de la politique d’ingérence Française au Mali.

Cette leçon doit servir les prochains présidents sur la liste du départ dans la zone CDEAO.

La France n’a pas d’amis, elle n’a que des intérêts.

Dianguina KEITA

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