Crise politique au Mali : Le syndicat des chefs d’États au secours d’un Membre du Bureau exécutif contesté par sa base.
Selon l’actuel président de la Guinée << la CDEAO c’est un syndicat des chefs d’États d’Afrique de l’ouest que je ne recevrais pas>>. Cette déclaration était le rejet de la délégation par M.Konde pendant la crise politique meurtrière de la Guinée.
- Alpha Condé a-t-il raison ?
La CDEAO peut-elle résoudre la crise Malienne ?
La France veut-elle une résolution de la crise malienne ?
Les gouvernemeurs d’Afriques auront-ils un peu de respect pour le peuple paupérisé ?
La rencontre M-5 RFP CDEAO ressemble plus à une plaidoirie pour SEM IBK qu’une négociation pour une sortie de crise.
S’il faut attendre un bain de sang pour pratiquement rien proposer, est à la limite une insulte pour l’intelligence.
Dans un match presque fini, la prolongation demandée par la CEDEAO se termine en queue de poisson.
Certains observateurs pensent que la main invisible de la France se trouve derrière cette négociation. L’objectif est de recoloniser selon les mêmes observateurs. En attendant que la France clarifie sa position, la politique française est vomie avec son silence complice.
Dommage que le Mali est tombé si bas au point que tous les vautours tournent autour.
Peut importe le dénouement de la crise, SEM IBK est rentré dans l’histoire.
On dirait à nos descendants << il était une fois Ibrahim Boubacar KEITA…>>, la suite est confidentielle…rire .
Ma grand-mère me disait << l’éternel craint est vaincu par l’insignifiant du village >>.
Alla-Ka- Hakilignoumandi Ladjibourama-maa
Dianguina KEITA
